lundi 27 avril 2020

5 erreurs FATALES à éviter dans le business

Bonjour, je suis JACQUES AKOI KOIVOGUI DIT JACKABIO; j’aimerais partager avec vous cinq erreurs fatales qui ont déjà couché bon nombre de carrières d’entrepreneur. Et aujourd’hui, j’aimerais tout simplement vous retransmettre ces erreurs qui ont soit été commises par moi-même ou par des amis entrepreneurs que je côtoie et qui, parfois, ont pu mettre fin à des carrières d’entrepreneur ou parfois simplement ralentir une certaine progression vers le succès.
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S’avoir s’entourer

Donc aujourd’hui, dans cette pub, j’aimerais partager avec vous toutes ces erreurs, puisque en fait, la plupart du temps, quand on démarre dans le domaine de l’entrepreneuriat, on a du mal à comprendre l’importance de s’entourer, de demander des conseils aux autres. Et moi, je le vois, les entrepreneurs qui réussissent le plus de choses sont ceux qui posent le plus de questions à d’autres entrepreneurs.
Donc le but de cette vidéo, c’est de vous donner directement une autoroute, justement d’éviter toutes ces cul-de-sac et toutes ces déviations entre guillemets que vous pourriez connaître sur la route d’un entrepreneur.

Attendre trop longtemps

Première erreur qui laisse à l’arrêt énormément d’entrepreneurs, c’est d’attendre le meilleur moment ou la meilleure idée.
Honnêtement, le mythe de la meilleure idée et du meilleur moment, ça n’existe pas. Alors bien évidemment, vous pourrez avoir une meilleure idée plutôt qu’une autre, vous pourrez lancer un produit ou un service dans un meilleur moment plutôt qu’un autre.
Par contre, la réalité des choses, c’est que l’argent que vous allez perdre entre le moment où vous allez réfléchir et le moment où vous allez réellement le faire, eh bien en fait sur ce laps de temps énorme qui peut se passer de plusieurs semaines à plusieurs mois, voire plusieurs années avant le lancement de votre idée, eh bien la réalité, c’est que le bénéfice que vous auriez engrangé sur toute cette période, vous aurez fait largement gagner beaucoup plus que cette petite optimisation d’idée ou de temps.
La réalité, c’est quoi ? C’est que le meilleur moment pour lancer votre business, c’était il y a cinq ans. Comme ça, on met tout le monde d’accord. Tout le monde est en retard et il est temps de se lancer le plus rapidement possible.
La réalité, c’est quoi ? C’est que lorsqu’on lance une idée, elle n’est jamais parfaite et surtout dès le départ. Tous les entrepreneurs à succès ont, dès le départ, eu une idée complètement pourrie qu’ils ont ensuite améliorée.
Retenez bien une chose : Tous les entrepreneurs à succès ont des idées évolutives et non pas des idées qui sont finies, qui définissent comme étant la meilleure ou la bonne pour pouvoir se lancer.
Si vous démarrez en tant qu’entrepreneur, vous allez obligatoirement lancer un business qui, dès le départ, je vous le dis très honnêtement, qui ne sera pas le plus optimisé.
C’est tout simple, vous faites tout comme moi. Vous lancez un business, celui que vous avez en tête et ensuite vous allez l’améliorer. Mon premier business était certainement un des plus nuls, qui rapporte le moins de ce que je manage aujourd’hui.
Donc pour prendre un exemple concret, ma première entreprise était une entreprise dans le domaine des étudiants, j’aidais des étudiants à obtenir leurs diplômes, mais très mauvaise idée de business. Je m’adressais à des personnes trop jeunes, donc qui n’avaient pas forcément beaucoup d’argent à dépenser, donc une clientèle moins riche que, entre guillemets, celle que je vise aujourd’hui.
En plus de ça, c’est un besoin qui était temporel, c’est-à-dire qu’au bout d’un moment, le marché va changer et mon business sera complètement KO et, bien évidemment, le business est vraiment limité, puisque il n’y avait pas de concurrent, donc je me suis dit, « je vais me lancer ». Donc en effet, le business a fonctionné et il fonctionne toujours d’ailleurs, mais il n’y a pas autant de clients potentiels que ça. Le problème, c’est que c’est très vite capé, c’est ce qu’on appelle capé dans le domaine pour ceux qui en pratiquent.

Compter sur les autres pour faire tourner votre business

Il y a trois choses que vous devez absolument cerner dans votre environnement, dans le business, c’est qu’on parle souvent de il faut s’entourer des bonnes personnes etc. Je vous dis très honnêtement, le monde du business est très très loin du monde des bisounours. Vous êtes dans un domaine où seuls les plus gros requins occupent le top 10 du marché.
Et pour être honnête, même si vous trouvez que les gens sont entre guillemets gentils dans un marché, qu’ils sont là pour innover, je vous très honnêtement, les équipes marketing qui sont derrière sont là pour faire une seule chose : des bénéfices.
Maintenant, quelle est l’erreur que vous ne devez pas commettre avec votre environnement dans le domaine du business ?
Première chose : Ne demandez jamais à vos amis leurs opinions sur une idée de business. Si ces personnes-là ne sont pas dans le business, comment vous voulez qu’elles vous donnent un avis objectif sur votre idée de business ?
Deuxième chose : N’attendez jamais qu’un prestataire ou que des salariés finissent une mission pour vous pour commencer autre chose. Pourquoi ? Parce que tout simplement ce qui fonctionne le plus avec la gestion des prestataires, la gestion des salariés, c’est soit la baguette ou soit le fait de payer plus cher aux prestataires.
Alors bien évidemment, moi, je vous parle d’une expérience sur trois ans de gestion de prestataires et trois ans de gestion salariale, je vous le dis très honnêtement. Bien évidemment, ce n’est pas comme ça dans toutes les boîtes, je vous donne simplement mon retour d’expérience à ce sujet dans le domaine de la prestation de service. N’attendez pas que quelqu’un fasse quelque chose pour vous pour avancer, sinon vous n’allez jamais avancer.

L’affiliation

Et enfin, ne faites pas reposer votre business sur de l’affiliation, sur des prestations ou sur des partenariats.
Exemple concret : Vous avez une entreprise dans le domaine de l’affiliation, vous gagnez des commissions à chaque fois que vous importez des clients dans une nouvelle entreprise, mais le jour où cette entreprise-là en question décide de vous payer moins, vers qui vous allez vous tourner ? Alors en effet, peut-être d’autres concurrents, mais le partenariat va être peut-être différent ou il va payer encore moins cher que votre partenaire que vous aviez auparavant.
Mais tout ça pour vous dire que moi, personnellement, j’avais anciennement des sources en affiliation avec des gros affiliés qui me payaient déjà pas mal, mais j’ai vu ces sources de commission diminuer, diminuer de mois en mois. Et face à ça, vous n’avez strictement aucun levier.
Je connais personnellement des gens qui gagnent des millions par an uniquement avec l’affiliation, c’est-à-dire qu’il y a uniquement des commissions lorsqu’ils importent des clients dans une autre entreprise. Ces entreprises-là, du jour au lendemain, si elles décident de fermer leurs boîtes ou qu’elles ne fonctionnent plus avec ce système d’affiliation, votre business est couché si vous l’avez fait reposer principalement sur ce type de technique.
Donc vraiment, retenez bien : Votre environnement, d’accord, mais ne comptez pas trop sur les autres pour faire tourner votre business.

Les résultats

Troisième erreur fatale qui risque de coucher n’importe quel business, c’est de perdre de vue. Une question pourtant très simple, très terre à terre, c’est combien est-ce que ça rapporte ?
Beaucoup d’entrepreneurs, beaucoup de gros du web vont vous parler de chiffre d’affaires, de lancement orchestré, de dropshipping, de publicité Facebook et de je ne sais encore quelle autre technique qui va sortir ou quelle nouvelle opportunité ou quelle est la nouvelle mine d’or à exploiter.
Je vous le dis très honnêtement : Regardez ce que les gens font et arrêtez de faire ce que les gens vous disent de faire.
Qu’est-ce qui vous fait manger à la fin du mois ? Est-ce que c’est votre chiffre d’affaires ou est-ce que c’est votre bénéfice ? Est-ce que c’est votre marge ou est-ce que c’est le nombre d’abonnés que vous avez sur votre chaîne You Tube ?
Je connais personnellement des gens qui s’emballent beaucoup trop vite avec des statistiques comme le nombre d’abonnés, le nombre de vues, le nombre de likes, le nombre de J’aime, le nombre de personnes qui vous suivent. Tout ça, honnêtement, c’est du bullshit. La chose la plus importante que vous devez retenir, c’est combien est-ce que ça vous rapporte ?
Moi, aujourd’hui, cette question, quand quelqu’un me parle de n’importe quoi, « j’ai fait un lancement orchestré, j’ai gagné un million d’euros ». « Non, est-ce que tu peux me décortiquer ce million d’euros ? Combien est-ce que tu as payé en publicité ? Combien est-ce que tu as payé tes partenaires ? Combien est-ce que tu as payé à l’État ? Quelle est ton optimisation fiscale ? »
Retenez bien une chose : Combien rapporte la technique que les gens vous présentent ? Si les personnes qui vous présentent des techniques ne sont pas capables de vous présenter un bénéfice, c’est tout simplement parce qu’elles ont des choses à cacher. Donc, concentrez-vous uniquement sur les bénéfices, puisque c’est ça qui vous rapporte réellement.

La saisonnalité ou la mode

Quatrième erreur que font beaucoup d’entrepreneurs, malheureusement, des débutants, eh bien c’est tout simplement le fait de se lancer dans un projet à la mode.
Je vous le dis très honnêtement. Pour moi, il y a deux choses qu’il faut bien distinguer : Une, les opportunités, donc en effet, des fois, il existe des opportunités dans lesquelles il faut se lancer rapidement et sur lesquelles on n’a pas beaucoup de recul. Maintenant, vous devez absolument faire la différence entre les opportunités et les business qui sont solides.
Pour moi, un business solide, c’est tout simplement un business qui rapporte depuis des siècles à des gens. Et pour ça, il y a que deux choses qui fonctionnent depuis des siècles, c’est l’entrepreneuriat et l’immobilier. Toutes les autres choses, pour moi, ce sont des projets à la mode.
Et ça signifie tout simplement, pas que ça ne fonctionne pas, mais simplement que c’est une opportunité de marché, c’est-à-dire que vous allez parfois, des fois, avoir sur certains siècles cinq ou 10 opportunités qui vont se présenter à vous et c’est à vous de savoir les saisir ou non.
Maintenant, ce que vous devez comprendre, c’est que ces opportunités de marché, elles ne sont pas facilement prenables. Maintenant, vous pouvez vous lancer. Donc en effet, vous prenez plus de risques, mais il ne faudra pas pleurer si ça ne fonctionne pas.
Alors que si vous vous lancez dès le départ dans un business qui fonctionne déjà depuis des siècles, eh bien déjà vous avez beaucoup plus de chances de réussir. Ça peut paraître logique, mais quand on n’y pense pas, on se dit : « Il y a telle opportunité qui sort, je devrais peut-être me lancer, » vous hésitez, au final, vous ne vous lancez pas et vous dites : « Il y a des personnes… » Et cinq ans plus tard, on dira : « Oui, il y a des personnes qui ont su saisir l’opportunité, elles sont devenues riches » et puis vous, vous allez vous dire : « Oui, c’est dommage. Moi, je l’ai vu passer, le truc, je n’ai pas investi dedans etc. »
Retenez bien une chose, c’est que si vous débutez dans l’entrepreneuriat et que la plupart du temps, quand on veut se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est pour quitter le salariat ou pour faire un projet qui nous amine, eh bien dès le départ, ne vous lancez pas dans un projet à la mode, lancez-vous dans quelque chose qui rapporte déjà depuis longtemps et utilisez ce cash-flow, si vous voulez, par la suite pour lancer le projet peut-être plus récent qui vous intéressera, mais commencez par les bases, commencez par des business qui rapportent depuis des siècles.

Tout accepter

Cinquième erreur : Dire « oui » à tout.
Est-ce que vous connaissez la différence entre les bricoleurs et les réels entrepreneurs ? Pour moi, un bricoleur, c’est quelqu’un non pas qui va avoir un petit business et à l’inverse, un entrepreneur, pour moi, ce n’est pas quelqu’un forcément qui aura un gros business. Mais pour moi, la différence entre un bricoleur ou du moins c’est comme ça que je vais appeler les gens comme ça et les entrepreneurs, eh bien ça va être le fait de dire « oui » à tout. Un bricoleur, il va dire « oui » à tout, un mastermind, une nouvelle formation, un nouveau partenariat, un déplacement professionnel, la participation à X ou Y partenariat ou projet.
Eh bien en fait, les personnes qui disent « oui » à tout et ce n’est pas péjoratif, mais c’est d’un point de vue temporel, elles sont obligées en termes de temps de faire entre guillemets tout ce qu’elles ont dit, tout ce dont elles ont accepté. Et donc du coup, au final, si elles font tout à moitié, ce n’est pas quelqu’un de sérieux alors qu’à l’inverse, quelqu’un qui va dire « non » la plupart du temps, mais lorsqu’il va accepter quelque chose, il va le faire à 100 %.
Pour moi, c’est ça la réelle différence entre quelqu’un qui aura réellement du professionnalisme, donc quelqu’un que je vais appeler un vrai entrepreneur et quelqu’un qui sera un bricoleur, c’est-à-dire quelqu’un qui va dire « oui » à tout.
Aujourd’hui, moi, je connais personnellement des personnes qui ont des très gros business et qui pourtant disent « oui » à tout, font tous leurs projets à 50 %. Donc forcément, oui, ça marche des fois, mais la plupart du temps, ça ne fonctionne pas et ça fait perdre du temps à tout le monde.
Et justement, d’un point de vue dans votre environnement d’entrepreneur, vous allez remarquer que quelqu’un qui dit « oui » à tout, c’est souvent quelqu’un qui est un petit peu délaissé de la plupart des gens, puisque on sait déjà qu’on peut tout obtenir de lui, alors que quelqu’un justement qui dit « non », la plupart du temps, lorsqu’il va vous donner son approbation, vous allez être content, vous allez faire vraiment le partenariat ou le projet à 100 % avec cette personne.
Et justement, je vous conseille vraiment et ça, généralement, je le remarque dans les entrepreneurs qui ont des entreprises qui font entre 1.000 et 10.000€ par mois, c’est le fait de dire « oui » à tout. Les personnes disent « oui » à tout et au final, elles ne font rien à 100 %.
Donc, si vous voulez faire partie des entrepreneurs, dites « non » la plupart du temps, étudiez bien les questions qu’on vous propose, les propositions. Et encore une fois, basez vos choix sur trois choses : Est-ce que ça va vous rapporter ? Est-ce que ça va vous amuser ? Ou est-ce que c’est une obligation ? Et si ce n’en est pas une, tout simplement, déléguez-le.
Donc, c’était mes cinq erreurs fatales à absolument pas faire lorsqu’on démarre en tant qu’entrepreneur et même lorsqu’on est à des niveaux de succès beaucoup plus importants, mais vraiment retenez ça et mettez ça en place.

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